La nuit où j'ai eu peur

Samedi 28 juin 6 28 /06 /Juin 14:30

La nuit où j'ai eu peur

La nuit où j'ai eu peur

Apr 24, 2014 12:31 pm
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........................................Vous êtes plusieurs à m'avoir demandé si j'avais eu peur quelque fois ? cela m'est arrivé une fois lorsque j'étais étudiante .
........................................Pendant l'été ,j'allais bénévolement assister des salariés aux Prud'hommes . Ce jour là ,j'étais allée à Niort aider une brave femme à qui son employeur avait oublié de donner un bulletin de salaire et accessoirement de la payer en totalité ....quant à faire!!!
Le juge avait obtenu qu'il y ait un accord à l'audience et cette pauvre femme était repartie avec son chèque .Obtenir un tel résultat!!! je peux te dire que lorsque tu as 20 ans cela te donne une sacrée pêche
.........................................Donc je rentre ; mon oncle Jean m'avait prêtée sa vieille Méhari (pour mes amis étrangers la Méhari est une voiture légère de Citroën ;décapotable , avec une carrosserie en plastique de couleur vive , la mienne était jaune (bref!une vraie voiture jouet ),
j'aimais bien la conduire en décapotable ;les cheveux au vent ( à l'époque je portais une queue de cheval haute comme une guerrière Apache ) .Il n'y avait plus de portière et seul une corde faisait office de garde fous .
........................................Résultat: mes cuisses étaient découvertes
jusque à ?????
jusque à ???
oui! bon !cela dépendait du vent et de la vitesse!!!!! .
.......................................Ce jour là,c'était haut et les braves gens qui me doublaient pouvait croire que j'étais nue dessous . C'était vrai car c'était un jour avec soutien gorge; je n'allais quand même pas me pointer avec les pointes dressées sous mon chemisier devant le tribunal .J'avais mis un chemisier blanc avec un sous tif vert bouteille comme ma jupe .
........................................J'adore conduire la Méhari pieds nus ;les vibrations montent le long des cuisses et se concentrent au niveau du fessier ou plus exactement entre l'anus et le clito.Bref !!!exactement où il faut .( Comme tu le sais maintenant j'ai monté la gamme et suis passée au "Defender")
J'étais bien , très bien !!! il y avait une pleine lune .Les ongles de mes mains rougeoyaient sur le volant ;j'avais relâché les bretelles du soutien gorge et je sentais mes seins tremblaient d'excitation.Ils veulent s'échapper.
Une camionnette me double ,je la vois ralentir ;le mec visiblement est intéressé par mes cuisses ,Il m'amuse, je retire la main gauche ,relève ce qui reste de jupes et.... le pouce sur le clitoris ;doucement je fais tournoyer mon index dans l'intimité.
Elle accélère... dommage ! moi je continue :index et majeur
Je les porte à la bouche oui !c'est bien!

.........................................Un choc...
j'aurais du le savoir s'exciter la chatte ou conduire ? il faut choisir !

.......................................Je suis au fossé dans un champ de colza en contrebas de la route. La Méharis a piqué du nez et son derrière est relevé .Je me dégrafe , non la ceinture est coincée . j'essaie de me redresser, me déporte sur le milieu ...j'y arrive.
Oui en partie ,je retombe , pile sur le levier de vitesse qui sur la Méhari est au tableau de bord.

Aoufff!!!!!!!!!
.......................................C'est fulgurant ,la boule vient de se loger dans mon moi. Encore une chance que je me le sois bien travaillée à l'instant N'empêche !elle prend de la place et je sens un jet d'urine jaillir .
Mais ,mon pied gauche dé et débraye , je repasse au point mort. Bien je suis la première fille au monde qui passe ses vitesses sans les mains ; uniquement avec sa chatte il faut dire que je muscle soigneusement mon périnée )
........................................je passe et repasse toutes les vitesses . Mais voila , la boule doit se faire de la place dans mon petit ventre et du coup :intestin et vessie se délestent par petit jets intermittents .Désagréable? non pas tant que ça ! Mais ce n'est pas non plus très agréable! , je saisis le bord arrière de la voiture et une jambe de chaque coté du levier je m'incline à droite ,à gauche vers l'avant vers l'arrière....
........................................De plus en plus vite! mes seins en ont eu marre , ils ont pris leur indépendance , ont abandonné le chemisier .Je vois leur triangles blancs crémeux sur ma peau bronzée qui font contraste avec mes ongles rouges .Ils bruissent et accompagnent le flic -floc de ma chatte qui
de terrier.... devient caverne .
Je suis prise dans un faisceau de phare .

et là !!!

Je vois une ombre chinoise .

" Ah ma petite dame si vous voulez vous en sortir il va falloir faire un effort" .

......................................Il semble vieux et il se moque de moi ce gougnafier . Il y a peut être de quoi ;remarques bien ! j'ai la jupe remontée à l'aine , le chemisier ouvert et les seins qui tressautent à chaque sursaut
je continue à me trémousser .Lui ,est ce pour chasser l'odeur ? allume une cigarette Oh c'est une gitane maïs !j'ai horreur de ça
........................................Avantage ,ça camoufle l'odeur qui provient de mes tréfonds et qui augmente à chaque trémoussement.
Je suis à bout ; il a fini sa gitane .Il me prend par le devant du soutien- gorge et tire ; bien sur je suis trop lourde et.... et ?
sous tif ,chemisier, se déchirent ;là je suis complétement à poil du haut

.......................................Aoh!!!! peut on me voir de la route ? heureusement que non ,je suis en contre bas .
Il me tire par les aisselles ,ça fait mal ,et il me sort de la bagnole
Je n'ai plus que ma jupe relevée ;en fait elle s'est transformée en ceinture tout est à l'air libre sauf mon mignon nombril !
mais ce n'est pas l'endroit le plus sensible de ma petite personne .
De la main droite il me prend la queue de cheval ,de la gauche il descend sa fermeture éclair ( non pas celle de son gilet !celle de son pantalon ,voyons )
......................................Ah l'odeur !!! il y a une odeur de moisi , de sperme rance ;non plusieurs odeurs de sperme avec des nuances (tu sais le sperme ,c'est comme le vin !en fonction de l'age les arômes sont différents
et là il y a plusieurs millésimes ! tu peux me croire.

///////////////////////////////////AU BON BEC

Il y a un moment que j'ai compris ;aussi quant il me prend les poignets et approche mon visage de son bout violacé je ne me fais pas prier .Du bout de la langue je donne quelques lichettes ,une vraie petite vipère puis j'enroule la langue par dessous , par dessus .
Mais qu'est ce ?
Il n'y a pas que l'odeur !
il y a du solide !des petits filaments verts , on dirait de la salade ? Miam mais oui ce sont des restes de salades .Ce gout c'est du poissons ( je connaissais car les vacances précédentes nous avions fait une cure de poisson avec mon copain ,amateur de sodomie et de fellation , alors le bout aromatisé aux fruits de mer je connais ....et j'étais même devenue capable de distinguer les espèces qui étaient au menu ).
Des petits grains !oui ! ce sont des figues ! mais dans quoi donc a t'il été fourré sa queue !
Pour le moment , je grignote et je fais la pompe aspirante Son bout est presque propre ;encore un effort et il sera comestible .Non trop tard! il ne résiste pas et l'odeur de sperme frais me remonte du fond de la gorge ,ça devient un peu mou , .Je sens la pression sur mes poignets se relâcher .C'est le moment , j'ai le pied gauche bien calé contre la bagnole .

Un bon appel du pied et je fonce .Je le bouscule Il tombe à la renverse , essaie de me retenir par la jupe .
Rien ne m'arrête , je cours droit devant ;la jupe lui reste dans les mains . Je cours ,nue ,mais libre ,libre! tout droit devant moi à travers ce champs de colza jaune sous la lune .
Mes pieds nus s'enfoncent librement dans la terre , je cours les talons aux fesses ; les tiges me caressent, s'insinuent dans mon entre jambes me chatouillent
Il crie ; je fonce . Mes seins ,mes seins ils sont libres et profitent de leur liberté pour aller de droite à gauche ;de bas à haut et chaque fois qu'ils se cognent entre eux ou contre ma poitrine ils font un petit bruit..... ah oui!!
c'est un de mes meilleurs souvenir ;cette course nue au clair de lune
Je me retourne , il est loin c'est fini!
ET
je tombe !c'est long ! que c'est long et ça fait mal , très mal

J'avais mal , très mal , j'étais tombée . J'avais dévalé un talus rempli de ronces .J'étais ,là , à 4 pattes remuant la tête couverte de feuilles , remuant des seins sanguinolents Égratignée, griffée de partout ; une grosse ronce avait longé mes lèvres , pénétrait ma fente et cisaillait mon clitoris .Maintenant il ressemblait à un gland avec sa fente au milieu.Il me faisait mal et il était devenu tout rouge . L'intérieur de mes cuisses ,si blanches , si douces ,était zébré de rouge , de marron .;seul mon visage était intact . Une petite mare rouge s'étendait sous mes lèvres .
Je m'assis et me mis à pleurer ..;ce qui m'arrive rarement Mais là ...ça n'allait pas : j'avais mal , j'étais seule , il faisait nuit et la lune était froide ( dire qu'il y a des gens qui ont pris plaisir à y aller , c'est bien une histoire de mecs, ça!)
J'avais peur , j'étais toute penaude ! ah on ne m'y prendrait plus à m'amuser en conduisant !! jamais plus ! quoique ?

J'étais assises , les jambes écartées ; tout naturellement mon index et mon majeur droit se logèrent dans ma fa fente .le pouce titillant prudemment mon clitoris martyrisé ( A ce moment ,il ne savait pas ce qu'il allait vivre par la suite ) annulaire , majeur et index gauches trouvèrent tout de suite leur place dans mon trou . Ils se cajolèrent à travers mes membranes et me cajolèrent c'était ce qu'il me fallait . Mes pleurs cessèrent et je me mis à gémir puis à haleter comme ces petits chiens à qui on caresse le ventre (souvent femme varie !)
Doucement, je me redressais ;cela n'avait que trop durer! Il fallait se battre !
/////////////////////

/////////////////////LE MEILLEUR AMI DE L'HOMME

Il fallait se battre

......................J'étais toujours seule , certes ! mais j'étais debout et marchais d'un bon pas sur ce chemin de terre . Blanche , striée de rouge ,j'avançai Mais oui j'avançai .

Mais , pour aller où????
je n'en avais aucune idée !mais ma silhouette se détachait bien, droite , valeureuse sous la lune
......................A main droite j'avisai une entrée de champs où avaient été laissés à l'abandon des sacs d'engrais . Je jetai un regard , un petit sourire se forma sur mes lèvres ( celles du haut celles du bas étaient trop écorchées pour servir à quoi que ce soit)
Je revis une gravure de mode des seventeens ; les robes Courrège ! ça te dis quelque chose ?
Je m'accroupis , fis 3 trous , retourna le sac de façon a ne pas avoir des traces d'engrais sur la peau et me voilà vêtue d'une chouette robe ;
......................odoriférante ,ça oui !

mais une mignonne robe qui me couvrait la poitrine et laissait juste apparaitre de temps en temps le début de mes touffes .Là j'étais heureuse!
....................Eh oui sous la lune , seule au milieu des champs j'étais bien ...la plénitude .je me retournais parfois et je voyais luire sur les pierres du chemin les traces du jus qui me sortait de mes extrémités ; mélange de chatte ,de matière liquide ,et d'un peu de sang .....
tu parles d'un Petit Poucet!
.......................finalement si!!!! un vrai petit Poucet des années 2000!!!!!!

.......................Je me retournais , inquiète ? quelque chose avait bougé ! je regardais . et je vis ........................................
Je vis une chose immonde ;
.......................le produit improbable des amours coupables d'un Basset d'Artois et d'une Terre Neuve ( bon, c'était peut être l'inverse ) .C'était long , les pattes arquées ,bas sur patte et noir , noir avec des oreilles tombantes qui trainaient par terre .Malheureusement il n'y avait pas que les oreilles qui trainaient au sol , .....il y avait son bout que j'entrevoyais à travers sa fourrure; un bout complètement en décalé de sa taille
Bah c'est normal!
....................... essaie de t'imaginer avec le bout d'un cheval entre les jambes! et tu comprendras l'enfer que vivait ce pauvre animal au quotidien.
........................Un véritable enfer car il avait entrepris de nettoyer le chemin et ..;à chaque flaque que j'avais laissée il s'arrêtait et léchait consciencieusement . Il gagnait du terrain
Malheur ! comme le Petit Poucet je serais incapable de retrouver mon chemin

...........................AH , Non ! je plaisante, je commençais à avoir la trouille car je me rappelai ce qui était arrivée à une de nos copines en classe de seconde .
Elles ne faisait pas partie de notre bande (elle était.. bon elle n'était pas terrible et elle était timorée )mais Bélinda sortait avec son frère .
..........................Ce jour là, Belinda était sortie avec le frère et l'autre était restée seule à la piscine avec son clebs ,qui justement était un Terre Neuve .
........................Je ne sais pas ce qui lui a pris. Etait elle vraiment en manque ? le clebs n'avait il pas eu sa dose de bromure ? Bref elle fit la bêtise de se mettre en levrette et bien sur ce qui devait arriver arriva .
.......................J'espère qu'elle a pris son pied au début!!! car le reste se révéla beaucoup moins amusant (du moins pour elle )
*Bélinda et le frère arrivèrent et virent un espèce de truc qui se secouait .
........................Cela avait des poils longs , de beaux poils noirs avec des plages blanches et imberbes ,2 mains et 6 pattes , cela s'agitait beaucoup et poussait des cris bizarres.
........................Mes 2 hypocrites s'allongèrent dans des chaises longues et le copain (un peu lourd ) expliqua à Bélinda que les canidés exécutent leur manœuvres en 2 fois : d'abord une pénétration qui lubrifie...puis une deuxième pénétration où la verge se dilate au delà de la taille de l'ouverture ce qui fait que ce pauvre mâle est in-fichu de se dégager avant d'avoir tout produit .
Il y a une seule solution : une casserole d'eau froide !
...................
mais voilà .....il n'y avait pas de casserole d'eau et il étaient obligés de laisser faire la nature . C'était bien triste pour sa sœur ..mais il n'y pouvait rien
..................
Bélinda, qui sous ses dehors dévergondé ! était et est toujours une brave fille ,le suppliait de faire cesser ses gémissements
......................Il se fit prier et finit par consentir . Unissant leur force ,; ils poussèrent le paquet dans la piscine .Ils firent une découverte de la plus haute importances scientifique !!!!

les Terres Neuves ne se reproduisent pas dans l'eau : le groupe se désolidarisa

.......................Ils eurent beaucoup de mal à remonter le clebs sur le bord ,c'est lourd un Terre neuve mouillé !!!! .
Donc depuis ce jour là je me méfie des chiens

.......................Celui là gagnait du terrain ,il me fallait agir et vite .
Je courrais presque et là l'idée ...il fallait le leurrer Je me fourrais à nouveau ....ma productivité augmenta ....les flaques se firent plus nombreuses et plus généreuses .Gagné mieux occupé à lécher il prenait du retard
........................Maintenant , je voyais la masse d'une ferme , je piquai droit devant .La porte ! sauvée je tambourinais et criais rien ! rien de rien
.........................Un halètement , je me retournais il était là ,hirsute , baveux, durci..
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..........................LA BONNE HÔTESSE

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..........................
........................ je me retournais il était là ,hirsute , baveux, durci.........................................................
..........................Il se dressa appuya ses pattes sur mes épaules ,,,je m'écroulais le long de la porte .Ma mini se releva laissa apparaitre ma touffe arrosée de sang séché , ma poitrine tailladée .Il hésita et commença à nettoyer ma touffe ,comme un chien propre qu'il était ;il entreprit le clitoris qui se remit à saigner ; cela ne lui plaisait pas ,mais pas du tout ...
..........................Monsieur le chien était raffiné! il laissa tomber ce truc saignant.. même pas cuit! et passa au visage qu'il commença à nettoyer .Mais ce faisant, il s'allongeait et je sentais sa dureté qui cognait ma chatte , le pauvre il essayait de marquer ses buts mais ne faisais que des bois.......................
MOI et bien moi je tremblais de peur .et non de froid car sa fourrure était bien chaude ;j'adore les Terre Neuves et les St Bernard

...........................Hector !!! fout le camps !!! un carré de lumière sortait de la porte ouverte . Je sentis 2 mains me saisir par les aisselle et me tiraient à l'intérieur . Je vis également 2 jambes variqueuses et ce qui me sembla être de la fourrure grise

............................Une flaque de lumière ... Deux jambes variqueuses...

............................c'est ce que je voie ;Ce que j'écoute ? un chien qui gronde ; Ce que je sens ? ma peau qui racle le carrelage , le sac de fumier qui se rabat sur mes jambes , une odeur d'urine froide et peut être pas que de l'urine ! mes bras qui s'étirent .Je suis trainée à l'intérieur ,d'en bas je vois à droite les pieds d'une table ,2 bancs et à gauche une cuisinière à bois et un vieux carrelage rouge
............................J'essaie de me relever , je reste à genoux . Deux mains saisissent ma robe- sac et je me retrouve la peau exposée , ma peau avec ses écorchures rouges , ses coulures brunes ou rougeâtre et d'autres blanchâtres qui dessinent des fleuves sur mes cuisses . Je ne sais si je suis Vénus mais là, je suis aussi striée que Mars .
..............................Ma pauvre! "me dit la vieille en chausson "j'ai idée de ce qui vous est arrivée ,le cabot ne vous a pas trop bousculée? Alors là j'ai bien aimé ! elle me dit ça comme s'il était normal!! que son scolopendre se soulage dans les chattes (affriolantes , certes!) des demoiselles naufragées de la route.

..............................J'étais là ,nue pitoyable , avec mon clitoris qui coulait et faisait une petite mare (heureusement rouge sur rouge cela ne se voyait pas trop ) Je la rassurai et lui affirmai que rien , rien du tout ne s'était passé.
...............................Elle me fit asseoir sur un banc et m'indiqua qu'il fallait me désinfecter . Je craignais le pire et m'imaginais rouge de mercurochrome Ce fut pire ....

...............................Elle farfouillait , je ne sais où .Elle revint dans mon champ de vision;elle tenait d'une main une serpillère et de l'autre une bouteille remplie de liquide transparent Bizarre!ça sentait la prune

"Ma petite dame pour ce que vous avez , rien ne vaut une bouteille de vielle prune , Buvez ça fera moins mal" et elle me fourra le goulot entre les lèvres Je décollai (Tu parles j'étais complètement à jeun et ce n'était pas du 40° mais bien un 50 °voir un 55 ° ,il devait y avoir des alambics dans le coin !)
................................Elle versa le reste sur la serpillère et me frotta .Vicieuse , elle insistait particulièrement dans mes ouvertures , je sentais la serpillère qui nettoyait mon petit trou,petit trou qui flambait sous l'effet de l'alcool , mon fond qui vaillamment attaquait avec les gaz pour se dégager même les dents se faisaient frotter Dans un premier temps je me remis à saigner puis ça s'estompa .

Quant je fus redevenue blanche .
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A TABLE

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Quant je fus redevenue blanche .
.............................Elle me renversa sur le banc , j'étais paf et me laissai faire Tranquillement elle s'assit à califourchon sur mon visage , elle jura ,descendit une espèce de torchon jaunâtre et recommença
...............................Les poils de sa chatte n'étaient pas que grisâtre ils étaient raides de sueur , d'urine, de sécrétions diverses et peut être même de sperme J'entrepris de nettoyer tout ça .
Sa fourrure redevint lisse et soyeuse , même l'odeur avait disparu
Je passai à la partie arrière ...encore des poils collés mais cela me devenait familier ;Non!ce n'était pas l'odeur et la consistance de sa touffe avant .Il y avait quelque chose d'autre ? quoi ? Des petits grains , une odeur de poisson

..........................OHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH NONNNNNNNNNNNNNNNNNNNN

C'était la dedans que mon vieux avait fourré son bout !!!!!!!!!!!

...........................En parlant de fourrer ; elle , elle fourre une main dans ma fente , l'autre dans mon trou .....Elle tire en sens inverse et j' élargie de bas en haut .Si elle se contentait de tirer régulièrement ; mais non elle le fait par saccades et ...mon trou , ma fente reprennent espoir et puis :
...........................vlam ils encaissent mais n'en peuvent plus une odeur de fluides corporels suinte de mon moi .Pauvre moi , il a beau lécher ,sucer , aspirer ,il ne peut arriver à bout de cette touffe .
............................Elle continue et je m'ouvre de plus en plus J'atteins le summum Non c'est ce que je croyais ...4 mains me saisissent les jambes et me les tirent au dessus de la tête je m'écartèle . d'où sortent ses mains ? Il faut que je le sache ! le hasard faisant bien les choses elle m'a justement glissé une hémorroïde dans la bouche ... Un coup de dent , je sectionne ,ça hurle et elle me libère

et

et je vois ....je vois mon vieux et son clone -20 ans de moins - ça doit être le rejeton .On peut parler de rejet car il semble un peu ...bah soyons politiquement correct ! un peu bizarre .Ils regardent la vieille dont l'entre jambe dégouline de sang , je ne l'ai pas ratée .Chacun son tour ! Elle a vraiment l'air de m'en vouloir ,je me demande bien pourquoi ?je lui ai évité une opération chirurgicale ! tu en connais beaucoup ,toi, des chirurgiens qui viennent t'opérer des hémorroïdes à domicile? Moi pas !
............................Elle s'éloigne et je l'entend piler quelques choses derrière mon dos .A l'odeur cela doit être des oignons .

............................Mes deux zèbres ne la regardent pas; ils ne voient que moi et plus exactement que mes trous . Ils me tournent et retournent pour jauger du diamètre de la fente et du trou .Finalement ils se décident pour la fente
............................Le clone enjambe le banc , son père me relève les jambes et lui dit "un pastis que tu ne l'enfiles pas à la directe "
.........Plus tard j'ai lu dans un livre de LEYRIS sur l'expédition ethnologique conduite au Mali qu'il y avait un rite consistant pour les jeunes hommes à rentrer du premier coup dans le vagin d'une demoiselle(vierge bien évidemment), s'ils réussissaient ils épousaient la damoiselle qui était devenue d'un seul coup une dame .
.............................Essaie !tu verras ,ce n'est pas évident -je ne sais pas si c'est vrai ou si, comme c'est souvent le cas dans les récits ethnologique, leur informateur s'était moqué d'eux.
Eh bien là ,...
ça a marché! direct! mes lèvres se sont retournées dans ma fente et son bout a été propulsé jusqu'à mon fond mon point "g " a en été illuminé .Il a remis ça puis le vieux s'y est mis . Tu as peut être reçu des crochets au foi et bien imagine !une rafale de crochets qui tapaient mon plexus par derrière .J'étais K.O.

...........................Ils me prirent par les bras et les jambes et m'allongèrent sur la table .

.............................Je vis la vieille s'approcher avec une casserole remplie de purée d'oignon .Elle entreprit de me farcir ; d'abord la fente .Aussitôt je me mis à pleurer, des yeux bien sur !mais surtout de la fente (ça... tu ignorais que les fentes pleuraient ,t'inquiètes pas les trous aussi ..tu peux essayer) .Elle continua en mélangeant avec une cuillère en bois - bien enfoncée ma sauce et sa purée .Ma sauce était de plus en plus abondante .Elle laissa reposer ,puis passa à mon trou . Les deux gorilles serraient mes trous pour éviter que la farce s'échappe

Encore heureux qu'ils n'eurent pas l'idée de me coudre ...j'aurais ressembler à une dinde farcie .

..........................La vieille revint avec une assiette remplie de tartine de pain beurrées qu'elle avait découpées en lanière .Ils.
s'assirent et commencèrent à tremper leur pain dans mes orifices comme tu fais dans un œuf coque .
Je sentais la croute écorcher mes parois , les bouts se détacher et rester dans mes fonds ,leurs doigts plonger dans mes intimités pour récupérer les morceaux et plus ils suçaient ,plus je produisait de sauce .

Je m'évanouis
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DELIVRANCE
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Je m'évanouis
.......................Un rayon de soleil m'éblouissait les yeux , j'étais nue sur le carrelage
Je levai la tête ,ils dormaient les coudes sur la table .Je me mise à 4 pattes ,puis je m'accrochai à la table pour me mettre debout .Une masse de matière informe et puante s'écroula de mes trous sur le carrelage .
Ils ne se réveillèrent pas .Le chien me regarda , s'étira et gentiment remua la queue pour me dire "bonjour" ;il avait l'air heureux

.......................Il entreprit de lécher le carrelage;

.......................Sur le porte manteaux il y avait un imperméable ,à la vieille probablement .Je le pris et sortis Il faisait un peu froid , mes 3 bouts se hérissèrent ,mais je vis la ligne d'arbre qui signalait la route .
.......................Arrivée à la voiture je fis du stop ; un épicier ambulant s'arrêta .Il regarda , j'étais très sale ,je sentais , Il hésita et..................... avec une corde remonta ma Méhari tout en examinant sans aucune honte mon entre jambe et mes seins que j'étais bien obligée d'exposer à travers la fente de mon imperméable à chacun de mes mouvement Il me fit même cadeau d'une bouteille de Pinault

......................Je remontai ; but la moitié de la bouteille au goulot

......................là c'était reparti .La voiture glissait , le vent écartait les pans de ma guenille , il s'introduisait le long de la touffe se chargeait d'odeur , glissait dans ma vallée et s'enroulait sur le visage

J'ai gardé l'imperméable ....
C'est le seul jour où j'ai eu peur
Tu comprends pourquoi plus rien ne me fait peur....................

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Par augustacierta3 - Publié dans : bdsm
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