augustacierta3

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Plusieurs amis m'ont demandé de détailler ma rencontre avec un trav;alors puis qu'il faut détailler et que je dispose d'un peu de temps ….détaillons ;
C'était donc le mercredi 18 mars .Il n'était pas très rassuré et m'avait demandé d'accéder à plusieurs souhaits
1/ Faire de l'alternatif …..aucun problème je suis « tout terrai n »
2 /Rester habillés …..pourquoi pas ?
3 /Pas d'uro ni de scato.... à ton bon plaisir ma chouquette !!!
4/Amener ses propres outils ,pourquoi pas je suis toujours apte à découvrir de nouvelles choses même si j'ai un faible pour mes godes faits maison
5/ Tout faire dans le noir
Bref , j'avais tout accepter sauf son dernier souhait.

Je m'étais habillée succinctement
° une jupe verte
°un C-String blanc
° un gros pull irlandais à grosse maille dans les grèges ( bien sur pas de sous tif,C-String oblige)
°des escarpins vernis noirs
° pas de bijoux
Ah j'oubliai:vernis vert émeraude assortis à la robe et au mascara et « rouge à lèvre » nature et.....une giclèe de Tocade
Comme tu vois je n'avais pas fait d'effort.

Interphone ,bruit d'ascenseur ,halètement derrière la porte, sonnerie ,ouverture ,présentation.....

Pas de perruque, robe noire sous manteau blanc ,bas clair (moi je n'en ai pas mis),poitrine vraisemblable , sandales décolletées , boucle d'oreille bleue avec collier assorti (du lapis-lazuli) à n'en pas douter . Tiens toi …..elle s est choisi »petite robe noire » elle aime les correspondances mais je ne sais ce que le mélange de nos jus va produite......
Là ,j'apprécie sa tenue et son maintien tout est de bon ton ;je suis toujours mal à l'aise devant les trav qui se croient obligées de sur-jouer .
Je l'invite à s'asseoir et lui propose Bourbon ou Cognac il part pour un cognac et je l'imite. Une main glisse , la mienne , écarte ce qui doit être un dessous symbolique , il est bien membré et a eu la bonne idée de laisser une totale liberté à ses attributs virils .
je titille;il durcit
Je lui fais part de mon admiration et vu comme il est parti qu'il fasse le tenon

Elle fouille dans son « lancaster « fouille qui fait ressortir un gode facial;je n'en utilise que rarement mais j'en garde toujours un bon souvenir …. Il elle, il le fixe . Me remonte la jupe entièrement ( je me demande pourquoi il as demandé qu'on reste habillés puis que il m'a mise cul nu , renifle mon C-string d'où un nouveau raidissement de son bout et entreprend de me lécher ma porte de derrière. Il , elle est gênée par son appendice qui ballotte entre mes lèvres . Je sens ses pouces m'écarter,pénétrer et jouer dans la cour des grands ,sensation d'humidité!je me connais assez pour savoir que je coule du fond mais pas encore de la devanture . Les pouces sortent
EUHHHH ….............son appendice m'est rentré jusqu'à cogner mon fondement Il commence à hocher de la tête , des flics....flocs Se font entendre
Tout mon être se lubrifie . Il elle sort , boit une gorgée de cognac ; me la souffle …......sensation de brulure puis chaleur qui irradie ,effluves
...Il elle boit ce cocktail
,pas égoïste il en recueille et me donne son doigt à téter ..mais pourquoi les gens ne boivent ils pas ainsi leur cognac (ou leur armagnac) Il, elle revient aux choses sérieuses et entreprend une série de hochement de tête ,tu as compris qu'un parallélogramme des forces se crée et a pour effet de faire faire des 8 à son jouet et de grands écarts à mon fondement ,au milieu de chaque 8 il me frôle le « g » par derrière et au sommet me cogne de l'intérieur mon plexus
C'est doux ,c'est bien ….............je geins doucement ( hum j'en fais juste assez pour que ça semble naturel en fait je me mord les lèvres pour ne pas crier ma joie ).
La crêpe doit lui sembler cuite car il me retourne sur le dos Ma porte de derrière n'y voit pas grande différence sauf que mon G est moins sollicité ,ma chatte se demande ce qui lui arrive , dévorée , étirée, mordue et non pas mordillée , mâchouillée elle en devient rouge de confusion et en perd une partie de sa Toison. Elle m'appelle au secours , j'arrive , je vole , je secoue , j'ondule , je lui projette le visage à un demi mètre j'arque , je ne suis soutenue que des talons et des épaules , je me creuse , j'essaie d'envoyer cette chose le plus loin possible de ma chatte mais rien de rien l'appendice reste dans mes fontes , ma chatte reste bridée

….......et Là

Je comprends la solitude du mustang qui est monté par un cow boy fou
qui essaie de s'en débarrasser et qui vaincu se couche ; me coucher c'est ce que je finis pas faire
et ça a duré …. ça a duré

Je suis exténuée ; lui est en forme il n'a pas débandé c'est ça la mécanisation !!!

Il me lâche ,s'assoit et et débande C'est ce que j'attendais. je descend ma robe ,va à la salle de bain et prend un sparadrap spécial tucking …... Eh oui mon mignon je vais te la plier , te les emballer , te les décorer et peut être même t'y faire un petit nœud !

Je le fais asseoir sur une chaise , lui remonte les jambes , les attache au dossier pour éviter tout mouvement malheureux et observe mon champ opératoire
. comme la quasi totalité des hommes il a la boule gauche plus grosse que le droite
je vais donc commencer par la droite. Je le laisse un instant et vais chercher au congélateur un sac de glaçons secs . Je commence à lui appliquer, sous l'effet du froid son bout et sa boule droite rapetisse puis je tâte pour trouver l'ouverture , je la sens , du bout des doigts je la malaxe , chauffée elle se détend J'introduis le doigt puis deux à travers la peau
Là ,il doit être prêt ;je vais tenter le coup. Je saisis la boule , la positionne dans l'axe et appuie .Il ,elle fait une grimace mais le froid l'a en partie anesthésié ,un sparadrap et hop la droite a disparu . Pas de politique je vais également faire disparaître la gauche
Refroidissement , tâtonnement , injection si l'on peut dire et scellement .
Il ne teste plus qu'à lui faire un clito et des lèvre;je reprends mon sparadrap et voilà maintenant il ,elle est doté d'une chatte très convenable même si elle n'est pas fendue !!!
Il vaut mieux ne pas laisser un tucking plus de 2 heures , j'ai donc 2 heures pour m'amuser. Je prends un chronomètre j'ôte ma jupe
et

Je me harnache ,elle me jette un regard torve
…. que veux t' elle ?
Puis je comprends;j'ai mangé la consigne ; j'ai enlevé ma jupe .Vite je corrige cet impair , ce monsieur-dame veut bien sentir mais pas voir !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Bon ! Me voici harnachée et camouflée ;par quelle partie de mon programme vais je commencer ????????????????

Un peu de voltige aérienne serait une bonne idée .

Je prends doucement mais fermement par le cou puisque sa guide est inservable et le conduis vers la table de la salle à manger. A ma demande ,il la renverse pendant que je farfouille dans mon coffre à jouet .Il m'attend aux pieds de la table , je l'approche munie de 4 sangles élastiques, lui demande de monter sur le plateau face à un petit coté et lui attache les avants bras à deux pieds en laissant de la longueur .Je lui prend une jambe après l'autre et les attache aux deux autres pieds
.Maintenant il elle est suspendu face contre terre à une cinquantaine de centimètres . je teste la solidité de l’amarrage en le faisant valser de droite et de gauche , de devant et de derrière puis de haut en bas en insistant bien sur ce dernier mouvement
. Il tient le coup ,quelques petites grimaces (ça tire sur les articulations) de petits craquements de vertèbres dans les mouvements verticaux ….ça tient Je n'ai plus que une heure trois quart avant de libérer ses appendices;je dois être précise et attentive. Je lui retrousse la robe.
J'introduis l'index de la main droite
le mignon est trop sec pour que je le visite sans présentation . Je tourne , puis passe successivement 3 doigts tout en lui touillant son arrière train . Cela manque toujours de jus Je ne vais quand même pas lui cracher dessus pour allonger sa sauce;ce serait irrespectueux.........

J'ai une meilleure idée , je vais à la cuisine, verse un fond de Sauternes dans un verre , approche le verre de mon entre jambe et voilà je récupère un plein verre d'un liquide mousseux à la bonne température. Je l'aspire avec une seringue et retourne à la salle à manger qui va mériter de devenir salle à boire
( OK !!!!!!!!!!!! OK !!!!!!!!!! elle est pas terrible ! Mais je l' ai laissée à la correction pour montrer que j'ai aussi mes faiblesses et ne suis pas totalement la « superwoman » que beaucoup imaginent)
Je suis à nouveau derrière lui , lui appuie sur les épaules ce qui pour effet de lui faire lever le croupion et à l'aide de la seringue lui injecte le contenu du verre , elle doit être lubrifié et au moins elle sent bon du fondement . Je me positionne entre ses jambes ,dard en avant une petite série de tapes sur les fesses pour la mettre dans l'ambiance Et on y va ….............
Je la repousse en avant ,tendant au maximum les sangles des jambes; je lâche ,elle arrive plein sur mon dard( un choc ….trop bas elle m'a percuté les cuisses et le dard lui est passé au dessus et s'est perdu dans les plis de la robe) .Je recommence;encore raté la hauteur semblait bonne mais elle a bougé et un rond rouge apparait sur sa fesse droite .Trop bas , trop haut trop à droite , trop à gauche ces essais sont été une véritable litanies dont je te dispense te sachant peu porté sur les choses de la religion .Ses fesses en sont devenues rouges ; c'est de sa faute c'est lui qui a choisi le gode .Un cri, un choc sur mon clito ,je suis rentrée je la saisis par les hanches et lui fait faire des 8 pour assouplir et élargir son arc que nous pourrons dorénavant qualifier d'arc de triomphe après cette victoire ;
victoire chèrement acquise dont les retombées vont l’empêcher de s'asseoir pendant une bonne semaine. Bien humectée ,je la réexpédie vers l'avant et là merveilles!!!!!!au retour pile dans l'axe .Maintenant j'ai tout à la fois la bonne position et le bon mouvement
...bon quoi : je rentre ,elle sort ….................. je rentre ,elle sort ;...Saches simplement qu' elle l'endure cette mise en fourreau et non en fourrière pendant 10 minutes avant qu'une tapette lui signale qu'elle a bien mérité un peu de repos.
Elle est toujours cul nu offert à ma convoitise,;2 doigts au chaud je réfléchis. Je me déchausse, l'enjambe .Je suis à califourchon sur son train de derrière, elle plie légèrement mais ne crie pas grâce;de toute façon cela aurait été inutile Je me redresse et lentement lui introduit ma gaule au fond de la raie ,J'y vais doucement comme avec les chevaux du club hippique de mon adolescence avant que je ne m'en fasse virer pour utilisation de la gente chevaline non conforme aux normes C.E.E.(je raconte l'épisode dans mon post les » Vanallenphiles » ) Je m'aide de mes jambes pour freiner ma mise au fourreau car je n'ai pas l'intention de l'empaler …

Sauvage mais pas trop la Joséphine; native du Sud Ouest elle sait raison garder comme son maître. Bordelais. Là , j'y suis, j'appuie des 2 mains sur les fesses et cale l'un après l'autre mes pieds sous ses aisselles

Tu vois la scène et …..
tu as tout de suite compris que la quasi totalité de mes 64 kilos d'os et de muscles n' appuie dorénavant que sur mon dard qui lui m^me ne pèse que sur sa fonte
Bref …..il,elle, vient de se récupérer dans les 64 Kilos dans le fondement et ...il ,elle,n'a pas fini .
Pourvu qu'il,elle, supporte la pression !!
Dans l'espoir de se débarrasser de sa cavalière ,il,elle, adopte la tactique du mustang ,celle que j'avais adoptée précédemment et se cambre ou plus exactement fait quelques tentatives

Imagines toi ,à plat à ventre faire une série de lever/coucher avec une cinquantaine de Kilos sur les reins?c'est ce qu'elle endure avant de se plier. Là ,elle, me fait pitié , je me porte vers l'avant de manière à soulager son fardeau;elle soupire d'aise .Ah l'innocence de ces hommes /femmes .. la crédulité des hommes associée à la confiance des femmes !
Biens sur je la soulage mais ? Mais mon dard est plus libre de ses mouvement et peux circuler dans son intimité et..............................................................................................................................................................devines ce qu'il y a au bout de mon dard ! Il y a mon bassin et que fait mon bassin ? Il fait des 8 ,des marches avant ,des marches arrière et qui suit mon bassin ?
C'est mon dard et que ressent le fond du fourreau ??des orgasmes prostatiques ,de bizarres sensations à son plexus solaire , la douceur de tous ces liquides produits en abondance , les bulles de gaz qui fuient, l'excitation d'un appendice qui voudrait grossir et ne peut ,le curieuse envie qu'a son anus de se dilater encore et encore et encore une dernière fois
« Ahh que ces sensations ne s 'arrêtent !
merci Joséphine !
,incorpore moi !!!!
non incorpore ton dard dans mon moi et accompagne moi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!….. »
ainsi parlait elle .
Entre nous elle avait atteint le dernier stade de la lapinitude .. je la voyais mal prendre le métro ou aller au travail dans cet état . C'est qu' elle en tremblait tellement la mignonne que je n'avais plus besoin de bouger elle faisait tout le travail . J'ai même craint qu'elle ne me fasse une crise d'épilepsie ,c'est dire ! Une demi heure après je sors moi même de l'état de transe où elle m'a plongé car comprends bien que si elle a découvert des orgasmes insoupçonnés moi je viens de vivre une demi heure d'orgasme clitoridiens ininterrompus !
Eh Oui la bas de mon tard appuyait sur mon clitoris et je vivais chacun de ses mouvements.............................. 

Je descend et libère ma monture ; défais les sangles; elle s'écroule ventre à terre et reste animée de soubresauts , cela est curieux . Du bout du pied le l'aide à se retourner ; elle est là les jambes écartées un filet s'écoule de son orifice , elle halète comme les chiens que je forçais à la course, bouche ouverte ,il elle me regarde sans me voir
Je lui introduis un orteil laqué de vert dans la bouche et elle a le réflexe de succion;bon !elle n'est pas fichu et je pourrai aller au bout de mon programme de deux heures . J'avoue une faiblesse : quand une langue me titille les orteils je frôle l'orgasme que la langue appartienne à un trav une fille ou un mec l'effet est garanti je l'enjambe et lui remet les sangles en prenant soin de les laisser plus longues aux bras. Elle est donc suspendu face au plafond le derrière relevé . Je lui enlève son collier et lui glisse boule à boule dans sa fente ,car maintenant ce n'est plus d'un trou mais d' une vraie fente dont elle dispose ; Je l'enjambe , cale mes pieds dans sa bouche et ma gaule dans sa rivière …............je mouline encore et encore
Je sais que son collier s'enroule autour et se déroule
Chaque fois qu'il se déroule ,les boules prennent plus de place et font pression sur ses membranes .Elle suce frénétiquement mes orteils et va jusqu'à les mordiller mais je suis stoïque et je continue mes moulinets . Bredouille , bredouille je suis
je ne remonte rien …..pas la moindre petite crotte seul du liquide percole . Il n'y a pas à dire elle s'est bien nettoyé l’intérieur .Pour le vérifier j'enlève le gode et y mets la main puis tout l'avant bras
je secoue comme une folle le collier à un point tel que j’entends ses boules (celles du collier pas les siennes) s'entrechoquer mais rien ! Rien . Un coup œil au chronomètre , merde je suis à la limite des 2 heures
Il va y laisser ces attributs que l'on dit virils. Avant de le déballer je lui donne 2 viagras car j'ai l'intention de continuer sur cette lancée.
Je le détache , l'assoie, lui enlève les sparadraps , et d'un ongle précautionneux extraits les boules de leur gaine. Un petit truc , in définissable se relève
Pour le réchauffer j'avale le tout .

Le reste a été d'un classicisme désespérant
il a joué au tenon ; puis à la mortaise .Ma seule fantaisie/ j'ai utilisé son gode facial alors que je lui prodiguait une suave fellation;Il a inondé mon canapé. Quatre heures ça a duré.......

Il a quitté mon appart vers 5 heures du matin
,il flageolait .
En partant travailler j'ai repéré des trainées comme celles des escargots entre ma porte et l’ascenseur
Du pied , je les ai effacées
Bisous
Au fait mon score au 20 avril ,j'ai tourné à 9 par semaine ayant pu caser un rendez vous supplémentaire pendant la pose méridienne. C'est une chose que je ne fais que lorsque je dois travailler seule car mon odeur de chatte satisfaite indispose les femmes et rend les mecs peu professionnels
Don 27 en 3 semaine
mecs 21 ,3 couples,2 filles et encore un trav
d'où un total depuis le début de l'année de 107 bienheureux ainsi répartis
/2 trav
/6 couples
/5 femmes
/94 hommes
La 3° photos est une ancienne que j'ai ressortie de mon album"le pied" pour montrer à Pollux que cet outil fait bien du 40...
/SIZE]

D'abord le score au 25 octobre . Cette semaine ,hasard du tirage aucun homme seul 5 couples et 3 copines ce qui donne au 25 octobre
267 hommes
/56 couples
/ 41 femmes (
/2 couple d'hommes
/2 couples femmes
/1 triplette
/1trav
TOTAL: 372

Je reviens à ma partie de chasse ( une vraie) qui m'a permis d’améliorer mon score.

ll a fait froid et il fait toujours froid en forêt ; j'ai remis mes bas , en fait pas tout à fait !!!je teste une nouvelle tenue L'inconvénient des bas c'est qu'ils glissent toujours un peu et qu'ils ne finissent pas d'habiller les fesses Voilà oui ,je sais ce sont des soucis de meuf mais j'ai un coté pouf mais pas pouffiasse !!!!!!!!!!!!!!!
Donc pour habiller mon petit cul cul je me suis mis au collant ;mais le collant ....c'est fermé Les deux premiers jours de la semaine ça a été terrible ...ces messieurs n'ont pas pris le temps de m'écorcher et ont tout déchiré J'ai les moyens mais enfin ! 4 collants en 2 jours !c'est trop!!!!!
J'ai donc étudié scientifiquement la question et j'ai trouvé la solution :j'enlève délicatement le gousset puis je consolide avec un trait de colle Dés que j'écarte ;ma chatte apparait -toute frémissante et mon trou s'arrondit de surprise -surprise d'être à l'air libre et mes fesses sont délicatement ajourées .....
Où j'en étais je ?

, ah oui la ballade en Sologne .Il faisait froid Il y avait des châtaignes plein la forêt et des sangliers, eux je ne les ai pas vus - mais des chasseurs ?oui j'en ai vus .J'avais été invité par un de tes compagnons de tirage au sort et je m'attendais à voir des chasseurs et des chasseresses sous divers angles .
J'avais bottes ,tailleur en tweed et bien sur veste de chasse avec un collant ouvert , couleur chair , bien sur; on m'avait coller un flingue entre les mains ;
J'avance ,et je sens quelque chose de dur essayer de pénétrer par derrière mon entre cuisse.Un vieux , avec une canne me titillait et doucement essayer de soulever la jupe .Le tweed c'est lourd ! et il avait du mal Le pauvre !je me retournais franchement lui souris , lui enlevai sa canne que j'expédiai au loin De ce mouvement ,il résulta 2 choses :
mon chemisier s'ouvrit et un bout de mamelon sortit prendre l'air :
le vieux chancela et se raccrocha à l'aspérité la plus proche (tu devines laquelle !) Dans un cri de douleur mon chemisier rendit l'âme . Il en ouvrit la bouche et laissa tomber son flingue ,ça c'est imprudent !
Il commençait à lui pousser quelque chose entre les jambes ,il bredouilla :" Connaissez vous la dinde au marron?"
et "le faisan fumé ", lui répondis je
J'avais une petite idée Sur la dinde au marron ...je me baissai et délicatement glissai un châtaigne dans ma chatte ,il s'agenouilla et tomba ,il tenait pas debout !maintenant il était allongé sur le sol en train de contempler ma fente qui s'arrondissait à chaque entrée et puis se refermait avec un petit bruit de déglutition .Je voyais sa pomme d'Adam faire des va et viens et de la salive coulait sur son menton Je m'amusais , J'avais les ongles rouge foncé ,quasiment noir .(ceux qui sont sur la photo qui a été prise la veille)
De la main gauche j'ouvrais ma fente en faisant ressortir mon clitoris entre le pouce et l'annulaire , de la droite je faisais pénétrer mes marrons en simulant un grand effort et en les repoussant ???Des marrons entraient ,puis sortaient doucement de ma fente après être restés en équilibre au bord des lèvres
Ses lèvres à lui............Elles étaient devenues blanches , Il fallait que je stoppe il allait me faire une crise cardiaque!!!
Doucement ,je lui mis un marron dans sa main et la guidai vers ma fente Nous étions d'accord tous les 2 nous connaissions la dinde au marron !Il continua à me remplir et il boucha avec une cosse de marron qui avec ses piquants se coinça dans mon entrée de grotte et empêcha le contenu de s'écouler . J'avais le vagin complètement distendu et c'était lourd Une bosse était apparue sur mon bas-ventre , j'étais trop serrée Je dus ouvrir ma jupe .

LUI était devenu dur , ,il se redressa et me tendit la main .Je me levai.
Ma jupe glissa sur mes bottes ,j'étais en collant ,ma chatte et ma touffe sorties , le chemisier en lambeaux , seule la veste me donnait figure féminine ; il me l'enleva ...............
De la droite il me tira et m'étira mon petit clito ; de la gauche sortit son arme personnelle et d'un coup me pénétra .Ce fut l'affolement à " Joséphine-vagin" les marrons ne savaient plus où se mettre : certains cherchaient le salut dans une entrée en force dans l'utérus mais là rien de possible il est bouclé!
sortir à l'extérieur ?, impossible le bout du vieux obstrue la sortie alors ces pauvres furent obligés de m"élargir ...je les sentais se précipiter vers mon point "g" compresser mon anus qui se mit à couler

Je commençais à me cailler sec (enfin non , j'étais bien humidifiée )Ma jupe était partie à droite , ma veste à gauche et deux lambeaux de chemisier pendaient de mes épaules .
Il me repoussa , je me cognai contre un tronc d'arbre abattu , il me bascula sur le dos à califourchon sur le tronc ,ma fente bien béante Le tronc était froid ,humide sous ma peau ;il était souple et chaque mouvement me faisait jouer au manège forain .Il s'assit sur mon visage , que veux tu? chez moi c'est un réflexe! je me mis à téter pendant qu'il comptait les marrons qui giclaient de mon antre ,les y remettait et les recomptait pour le cas où il se serait trompé.
Je vis 2 gouttes rouges jaillir de ses fesses .J' ai oublié de te dire que ses fesses était blanches veinées de bleu avec quelques poils gris qui partant de son trou lui faisaient un toupet d'un très vilain effet .

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Deux gouttes rouges jaillirent ! ..............un claquement ! Sous l'effet de la surprise il m'envoya un jet - je suis bien obligée d'avouer que c'était de l'urine -au fond de la gorge .
Non! pour qui se prend il celui là ?
Pas de scatophilie avec moi !Je serrai les dents à fond autour de son gland et fermai le robinet. Il cria , et une femme ricana et l'apostropha
"vieux cochon"
Je vis une main tavelée qui maniait un fagot de ronces ,le fagot passa devant mes yeux , je sentis son vent et il s'écrasa à nouveau sur ces pauvres choses blanchâtres Vlan!Vlan !ça rythmait les hurlements de ce pauvre monsieur que je tenais fermement par son outil ;coincé !il était . Elle avait bien étudié son coup : quelques branches étaient plus longues et s'enroulaient autour du ventre Il devenait rouge de partout , les gouttes venaient s'écraser sur moi .Des coulures signaient les endroits où ses veines avaient éclatées Il criait moins fort ,pas très résistant le chasseur! .
Elle m'enleva son outil de la bouche ,le fit tomber et m'enfourcha Les femmes sont des animaux bizarres autant elle avait été elle avait été brutale un instant auparavant autant elle fût câline avec moi.

Nous rentrâmes tous le 3 .
Moi :la veste bien serrée ,elle tout sourire ,lui se dandinant .
Astrid me vit et me dit" Joë que t'est il arrivé ? Je souris d'un air béat .Elle me tendit son miroir et je vis mon mufle : je souriais
les lèvres retroussées sur mes canines
, des traces de sang au commissures ,
le front ,les joues constellées de taches rouges ,
les yeux très vert comme lorsque je suis très excitée (c'est un effet de l'adrénaline )
Avec mes cheveux noirs , j'avais tout l'air d'une panthère noire .
Enfant , j'aimais beaucoup le personnage de Baghèra fière,
indépendante ,
câline ,
féroce
et soyeuse pour celui qui saurait me caresser dans le sens du poil ,
des yeux vert sous un poil noir et
surtout insaisissable comme l'amour pour les gentils ou la mort pour les méchants;
mais toujours avec beaucoup de douceur! une vraie soie!

Bref , il fallait que j'aille me laver En y allant Astrid me présenta ses 2 frères jumeaux - c'étaient de faux jumeaux car l'un était gaucher et l'autre droitier
Une fois nettoyée et habillée ,je descendis pour le repas .je me trouvais face à Astrid et entre les deux jumeaux ,Je m'étais quasiment arrosée de "Tocade" mais le parfum ne réussissait pas à camoufler l'odeur de ma chatte ni celle du sperme froid (j'aime l'odeur mais ce n'est pas toujours partagé )
Mes pieds rencontrèrent quelque chose , je quittai délicatement mes souliers Mes orteils s'épanouirent - il faisait chaud et ces dames avaient abandonné bas ou collant ;nous étions jambes nues ; Maintenant ,Mes orteils s'amusaient à s'entrecroiser avec ceux d'Astrid . Ils n'étaient pas les seuls à s'amuser !
les poils de ma touffe résistaient vaillamment aux mains des deux jumeaux qui une main sous la table avaient entrepris une exploration de mon intimité .Exploration qui passait par le débroussaillage de ma forêt profonde .
Le repas passait , ,nous parlions de choses sérieuses et
ma fente coulait et
j'égratignai de mes ongles les chevilles d'Astrid .
Nous étions impassibles ;non pas tout à fait ,il m'arrivait de lever la tête quand un doigt me tordait le clito ou qu'une main essayait de prendre possession de ma caverne. Autrement je constituais un modèle de vertu
. Quant à Astrid de temps en temps elle laissait échapper un petit "aï "et une fois , à la stupeur de son voisin !elle lâcha " toi ,ma salope !tu ne perds rien pour attendre" . Sur le moment ,je n'ai pas compris qu'elle parlait de moi ;j'aurais du me méfier !
A la fin du repas , elle me demanda si je voulais l'accompagner fumer dehors .Sans méfiance je la suivi et ne la vis pas prendre sur une desserte un de ces moulins à poivre en forme de tour annelée que" Peugeot" fabrique. Je ne sais pas si tu connais ?il y en avait chez ma grand mère .J'avais souvent fantasmé dessus ,dés mes 12 ans ,mais ...c'est tellement impressionnant que c'est un des rares instruments ménagers que je n'ai pas testé !
Dehors, elle me bloqua contre le mur Elle est costaude mais j'aurais pu l'avoir .Sauf

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.
. Sauf , que la curiosité est un vilain défaut et que j'étais curieuses de la suite .

Je n'ai pas été déçue.De la main droite elle m'envoya le moulin au fond J'étais sonnée Tu as du recevoir des coups de poing au plexus ? imagines toi un coup au plexus par l'intérieur !
Si elle ne m'avait pas soutenue ,je me serais effondrée .Mes jambes ne me servaient à rien ! De surprise ,les bords de ma fente s'ouvrirent , ils poussèrent un soupir de soulagement quand une partie plus étroite se présenta et un gémissement d'horreur lorsque une nouvelle cannelure apparût..........
Quinze secondes dans un sens , quinze dans l'autre ,elle avait le rythme et ma fente s'alignait 2 cm pui3 cm ,puis 2 puis 3 seul mon fond souffrait de ces coups de boutoirs .Mais voilà ma fente émettait des flic flocs désespérés (c'est sa façon d'appeler au secours ) elle avait accéléré le rythme deux secondes dans un sens deux dans l'autre ma fente était frénétique ;mes lèvres lui rentraient dedans en essayant de la protéger . Rien n'y faisait................................ Elle devait s'écarter davantage pour leur faire de la places et mes petites lèvres chérie s'allongeaient et devenaient de vraies pendeloques .

Enfin !!!!elle le retira mais que faisait elle ?

Elle le retourna , l'enfonça et se mit à moudre du poivre dans mon petit chez moi !!!!! et reprit ses va et viens . Me voilà bien ! Pour la première fois j'étais transformée en steak au poivre .Je brulais heureusement que je n'ai pas d’hémorroïdes!),............................................................................................... je faisais de la sauce pour atténuer mes brulures .Tu parles d'une réussite !
Le jus poivré s'écoulait le long de mes lèvre , s'insinuait dans ma raie de fesses et brulait tout sur son passage .Je me sentais devenir toute rouge du fondement. En plus les chiens s'étaient réveillés et tiraient sur leur laisse et tu sais que depuis ma promenade à Niort je me méfie des chiens lubriques .........
Elle s'ennuya et ....................me laissa tomber .Je m'effondrai sur les genoux ,le moulin pendait entre mes cuisses, retenu par sa cannelure .Je le fis sortir de ma caverne et doucement regagnai la salle commune .

L'un des jumeaux (le gaucher ) me sourit , je lui souris . Le proverbe dit "La vengeance est un plat qui se mange froid " moi je dis " la vengeance est un plat qui se sert chaud "

J e m'avançai vers lui ;une demi heure après il connaissait ,
il savait ce que c''est d'être un steak accompagné d'une sauce au poivre Un seul problème le trou d'un mec , c'est moins élastique qu'une fente de femme et j'ai du l'enfoncer à deux mains pour bien réussir ...... ma sauce

Bisous de la panthère noire